Entre Saint-Pétersbourg, Boston, Paris, Florence et Londres, cette histoire nous fait courir avec elle. Tableaux, art et peinture sont au centre de La Prochaine Fois. Le récit parcourt des siècles, des vies différentes mais pourtant liées. Le tout sur un fond de mystères et de vérités qui auraient peut-être dû rester cachés.
Sur la première de couverture, tout en haut, vous verrez "Les contes de mon enfance". Quel titre évocateur, quel retour dans cette merveilleuse période de notre vie, le temps de quelques instants ou de quelques pages !
Dans Le pouvoir de la vulnérabitité, Brené Brown nous dévoile la vulnérabilité sous sa forme la plus simple et la plus vraie. Elle parle du fait d'aller là dans l'arène et de se souvenir qu'on est pas tout seul.
L'ouvrage No home, de Yaa Gyasi, est un travail de mémoire, qui vient raconter l'histoire de l'esclavage. Mais au-delà de ça, c'est le récit de plusieurs peuples, tribus et familles déracinés sur 250 ans.
L'ikigai décrit donc l'état d'une personne qui trouve du sens à la vie et éprouve un grand bonheur de pouvoir faire quelque chose qui a du sens à ses yeux.
A chaque fois que quelqu’un me dit qu’il a déjà pensé au suicide, je ne suis pas vraiment surprise. J’ai juste mal en me demandant comment est-ce que cette personne peut se sentir, au point de se dire que la mort est mieux, qu'il n'y a plus d'espoir.
Lorsqu'un personnage de roman devient aussi réel que ceux qui vous entourent, les pages que vous lisez vous marquent à jamais. Un appartement à Paris est un de ces romans. C'est ce que Guillaume Musso a réussi à créer.
Couverture super méga belle, titre plus qu'intrigant et troublant, je me suis laissée séduire sans hésiter par le roman "My sister, the serial killer", d'Oyainkan Braithwaite. Je vous livre mon avis dans ce billet.